Alors que la conférence climatique annuelle de l'ONU se tient en Azerbaïdjan, les yeux du monde se tournent vers les États-Unis et l'impact potentiel d'un retour au pouvoir de Donald Trump sur les efforts climatiques internationaux. Les États-Unis, deuxième plus grand pollueur de la planète, pourraient se retirer une seconde fois de l'accord de Paris, soulevant des questions sur la viabilité de la lutte mondiale contre le changement climatique sans leur participation.
Cette situation intervient alors que des appels vibrants à la coopération internationale ont été lancés lors de l'ouverture de la COP29. Avec l'absence remarquée de leaders européens clés et la perspective d'une présidence Trump renouvelée, les défis pour maintenir l'élan global dans la lutte contre le réchauffement climatique sont conséquents. L'argent reste le nerf de la guerre, avec des besoins de financement climatique qui dépassent largement les capacités actuelles des pays développés.
Trump fera-t-il la pluie et le beau temps du climat mondial?
Des Européens absents
La COP29 se déroule avec une présence européenne amoindrie, les figures de proue telles qu'Emmanuel Macron, Olaf Scholz, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen brillant par leur absence. La délégation de l'Union Européenne est néanmoins représentée par des leaders comme Viktor Orban, Andrzej Duda, Pedro Sanchez et Giorgia Meloni. L'absence de ces dirigeants soulève des interrogations sur l'engagement et la solidarité européens face à l'urgence climatique.
Une première décision adoptée
Malgré un démarrage laborieux, la première journée de la COP29 a abouti à un consensus sur les premières règles majeures de l'ONU pour un marché des crédits carbone fiable. Cela vise à éliminer les abus, les fraudes et le "greenwashing" qui ont jusqu'à présent entaché ce système sans régulation internationale claire.
L'argent, le nerf de la guerre
Le financement climatique domine les discussions, avec des besoins estimés à plus de 116 milliards de dollars par an en 2022. Les pays en développement appellent à une augmentation massive de ces fonds pour faire face aux impacts du changement climatique, réclamant des sommes qui paraissent hors de portée pour les finances publiques occidentales. La question est de savoir si les nations développées seront prêtes ou capables de répondre à ces demandes financières croissantes.
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